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Après les défilés pacifiques, et même souvent joyeux, organisés à Paris par les étudiants et lycéens, les manifestations contre le CPE ont donné lieu à des affrontement, parfois extrêmement violents, entre force de l'ordre et ceux que les médias appellent les "casseurs". Un mélange hétérogène de militants d'extrême gauche, d'anarchistes et d'étudiants rêvant d'un nouveau « Mai 68 », auxquels ont rapidement succédé des jeunes venus de banlieue qui ont utilisé le prétexte de ces manifestations pour affronter les forces de l'ordre, vandaliser voitures et commerces, et agresser manifestants et passants.

Quelques mois après les émeutes des banlieues de novembre 2005, les violences urbaines ont atteint cette fois le cœur des grandes villes françaises et de la capitale. Ces événements qui met en lumière une jeunesse qui n'a trouvé que la violence comme moyen d'exister, n'annonce rien de bon.

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